Y'a tant de vagues et de fumée, qu'on arrive plus à distinguer
Si un jour ce message devait être posté, c'est que je m'en serais allé rejoindre un autre monde.
D'aucun le disent meilleur. Je ne sais pas encore, n'ayant pas eu l'occasion de m'y trouver récemment. Les dernières fois que je l'avais abordé, ça avait été pour de brèves périodes, avant que je n'en revienne. Et oui.
Le blanc du noir, et l'énergie du désespoir
Certains diront "il ne souffre plus", d'autres "il est mieux là où il est", d'autres encore "il est parti"... Quel que soit le nom que l'on donne à ce départ, le résultat est le même: je ne suis plus là.
De là où je serai quand ce message sera posté, je pourrai peut-être vous voir. Peut-être que, peut-être pas. Je l'ignore. Mais j'ai toujours voulu pensé que non.
Le téléphone pourra sonner, il n'y aura plus d'abonné, et plus d'idée
Mais je voudrais quand même laisser un dernier truc: j'ai beaucoup aimé les blogs que j'ai fréquenté. Et quand il y en avait que je n'appréciait pas, je n'y allais pas.
Il y a des blogs qui m'ont émus (coucou Abs et Yael), d'autres que j'ai adoré (coucou Yael), il y en a sur lesquels je n'ai pas compris toutes les notes (coucou Abs), il y en a où je me suis beaucoup amusé (coucou Manu, Pierrix, Stockholm... et tous ceux que j'oublie), et il y a Saru qui n'avait pas de blog mais qui m'a beaucoup fait rire dans ses messages.
Que le silence pour respirer
Recommencer là où le monde a commencé
Alors voilà, ce message écrit d'avance doit se terminer, et avec lui, le reste.
Matthieu
PS: bien évidemment, je reviens de ma visite annuelle dans ma famille la semaine prochaine !!! A samedi prochain donc !